Nous vous présentons ici des souvenirs typiques de Hiroshima comme les pâtisseries momiji manju, les pinceaux de Kumano, le saké japonais, les produits à base d’huîtres, de citrons ou les bilboquets kendama.
Nous vous présentons ici des souvenirs typiques de Hiroshima comme les pâtisseries momiji manju, les pinceaux de Kumano, le saké japonais, les produits à base d’huîtres, de citrons ou les bilboquets kendama.
Ce sont des pinceaux traditionnels fabriqués à la main à Kumano, dans le district d'Aki. Réalisés à partir de l’époque d'Edo (1603-1868) par les paysans pendant la basse saison, leurs techniques de fabrication ont été transmises jusqu'à nos jours. La qualité de ces pinceaux de calligraphie, de peinture ou de maquillage est reconnue au Japon et à l'étranger, et a fait la réputation de cet artisanat de Kumano dans le monde entier.
Saijo est connue comme l'une des principales localités productrices de saké du pays en raison de son climat, propice au brassage, et de la qualité de son eau. Les maisons de production de saké à la longue histoire n'emploient que les meilleurs riz, eau et toji (maîtres sakéificateurs) afin de produire toute une gamme d'excellents sakés locaux.
Les huîtres qui grossissent dans la généreuse mer intérieure (Setonaikai) ont une saveur puissante et sucrée et sont riches en nutriments. De nombreux produits transformés à base d'huîtres de haute qualité et sécurité qui ont satisfait aux normes d'expédition les plus strictes sont proposés et beaucoup sont populaires comme cadeaux-souvenirs après un séjour à Hiroshima.
Les citrons cultivés dans le climat doux de la mer intérieure (Setonaikai) jouissent non seulement du volume de production le plus élevé du Japon, mais c’est aussi le soin tout particulier apporté à leur saveur et à leur sécurité qui a fait leur renommée comme « citrons de Setouchi ». Il existe également de nombreux aliments transformés à base de ces citrons tels que des jus ou des gâteaux.
Ce jouet traditionnel japonais a vu le jour lorsque le bilboquet français a été amélioré au cours de l’ère Taisho (1912-1926) et rebaptisé « boule nichigetsu ». Son inventeur, Hamaji Egusa, s’est rendu à Hatsukaichi, la ville qui comprend Miyajima, pour lui en confier la production. C’est ainsi que les lieux sont désormais connus comme le berceau du bilboquet japonais kendama.
By using this site, you agree to the use of cookies. See our privacy policy for more information.